avis et critiques
29/10/17
Just Focus
29/10/2017 : Carole M. publie une jolie critique de « Doll is Mine » sur le site Justfocus
extraits
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Dans la mise en scène d’Arturo Armone Caruso, on retrouve des inspirations du théâtre Nô. Tout d’abord, Shiori, le personnage principal (Shite) fait progresser l’intrigue via ses danses, lentes, inspirées du Butô, et ses chants doux, tels des comptines. La présence de la musicienne et chanteuse Maria Fausta Rizzo, témoin et premier spectateur, représente, quant à elle, le Waki. Ses interventions viennent appuyer le sens du récit de Shiori, apportent une autre couleur. Sa voix nous émeut et nous fait frissonner.
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La scénographie, les costumes, le jeu d’Azuki et la musique forment un tout où l’on peut remarquer le goût du détail, la recherche de sincérité dans une esthétique sophistiquée, fine et travaillée. Une précision de geste, de mise en scène, de timing que l’on a l’habitude d’associer à l’art japonais.interventions viennent appuyer le sens du récit de Shiori, apportent une autre couleur. Sa voix nous émeut et nous fait frissonner.
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30/10/17
Critiques de Théâtres à Paris
30/10/2017 : Le blog «Critiques de Théatres à Paris publie un article sur «Doll is Mine».
extrait
C’est un très beau texte que celui de Katia Ippaso, adapté et mise en scène par Arturo Armone Caruso, magnifiquement interprété par Azuki, accompagnée délicatement par Maria Fausta Rizzo au chant et à la musique. Dans ce petit écrin que constitue le théâtre de Nesle (et dans le très charmant sixième arrondissement à l’écart de la foule des touristes), ne manquez pas cette pièce forte et sensible qui vous emmènera sur une “île” pas ordinaire… C’est un beau moment de théâtre.
31/10/17
Tu Paris Combien
Blog « Tu Paris Combien »
Article / Critique de « Doll is Mine »
extraits
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La configuration de la cave voûtée du théâtre de Nesle semble avoir été créée pour cette représentation théâtrale. Entourés de ces belles pierres, face à ce décor épuré japonisant (un lit, une jolie théière et des pétales de fleurs parsemées, des vernis posés à même le sol) c’est comme si nous étions dans un coin de sa chambre.
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Azuki est simplement magnifique dans le rôle de Shiori, qu’elle interprète avec beaucoup d’élégance. Elle est accompagnée par la musique et les chansons de la sublime Maria Fausta Rizzo. Les deux artistes se répondent en totale harmonie. L’une avec son texte l’autre avec sa musique, c’est très réussi. Gros coup de cœur pour la voix de Maria Fausta Rizzo Notamment lorsqu’elle interprète « Doll is mine » de Blonde Redhead.
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Cette histoire tragique est magistralement mise en scène et interprétée. Azuki et Maria Fausta Rizzo sont fabuleuses. Attention vous allez tomber amoureux.
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31/10/17
Sorties à Paris
31/10/2017 : Fabienne Schouler, du site « Sorties à Paris » publie un bel article sur « Doll is Mine ».
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L’Artiste fait une merveilleuse synthèse de ses deux cultures, en allant chercher une gestuelle du Théâtre Japonais Nô et de la danse Butō avec la liberté du théâtre contemporain.
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Une alchimie qui fait merveille durant le spectacle. J’ai été fascinée par le mouvement de ses pieds. Ils sont sculpturaux, selon les critères grecs et elle marche systématiquement en parlant avec un rythme très lent et décompose les mouvements, ce qui lui donne une grâce irréelle et fantasmagorique.
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